Football/ : une conférence de presse de rentrée des activités de l’ANFPG
L’Association Nationale des Footballeurs Professionnels du Gabon a convié jeudi la presse nationale et internationale à une conférence de presse à son nouveau siège en marge de la rentrée de ses activités.
Cette conférence de presse qui marque ainsi la reprise imminente de ses activités a tourné autour de trois points essentiels, à savoir :
Les nouveaux programmes de l'ANFPG au profit des footballeurs et footballeuses du Gabon ;
Le dossier des impayés de salaires dus aux footballeurs professionnels du Gabon saison 2016-2018 actuellement devant le tribunal arbitral du sport de Lausanne (Suisse) ;
Les avancées importantes avec les juridictions gabonaises en matière de violations des contrats de travail des footballeurs professionnels.
Le vice-président de l’ANFPG, Axel Nguema Edou, est revenu sur ladite conférence.
« Notre présence était justement marquée par une conférence de presse qu’on peut appeler conférence de rentrée des activités de l’ANFPG afin de présenter effectivement les programmes que nous offrons et que nous continuons d’améliorer pour les footballeurs professionnels du Gabon, mais aussi de présenter la situation du dossier des impayés de salaires de 2016 à 2018, dont une plainte a été déposée au niveau du tribunal arbitral du sport de Lausanne, et enfin de présenter justement les avancées dans la juridiction gabonaise sur les violations des droits des footballeurs professionnels, donc des avancées considérables pour les footballeurs professionnels du Gabon et notamment pour la justice gabonaise ».
« Ce que vous devez retenir c’est que ce problème de dette ce n’est pas finit l'ANFPG a a fini la procédure sur le plan national nous avons saisi M tribunal arbitral de Lausanne pour quelle puisse effectivement demander à la fédération gabonaise de football de payer déjà la deuxième tranche quelle devait faire faire ce qui a été fait et la Fegafoot dit effectivement qu’elle ne se reconnaît pas du coup le tas comme tout procédure prévoit d’abord l’arrange a la minable donc nous avons mis en demeure les autres parties qui sont signataire de ce accord de 2020 sur cette dette là notamment la Linaf et l’association des clubs professionnels pour que ses différents parties puissent le montant restant c’est-à-dire les 545millions qui restent ».
Willy EYI BEYEME
Informer dans l'Impartialité

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