Législatives 2025 / Mekambo 3ᵉ siège : BOUYA Estevil, l'espoir d’un renouveau social et politique du canton Djouah.
Dans une conjoncture politique marquée par la lassitude des promesses non tenues et l’urgence d’un nouveau souffle local, la candidature de BOUYA KOIKOIZA Estevil résonne comme une réponse claire aux attentes profondes des populations. Dans le canton Djouah, le fils de la Djouah s’impose comme un homme de terrain, de conviction, de résultats. En décidant de se porter candidat aux législatives de septembre 2025, il propose bien plus qu’un simple changement de visage : il propose une rupture responsable, une transition crédible et une alternative humaine. Un renouveau, fondé sur l’action, l’intégrité et la proximité.
Un homme du social, passé maître dans l’art de servir
BOUYA KOIKOIZA Estevil n'a pas attendu une investiture politique pour œuvrer au bien-être collectif. ''L'œil qui a vu ne ment pas'', parle pour lui. Il a consacré plusieurs années de sa vie à améliorer les conditions de vie des plus vulnérables. Accès aux soins, accompagnement des personnes âgées, protection des familles démunies : son engagement n’était pas bureaucratique, mais profondément humain.
À l’heure où les électeurs cherchent moins des orateurs que des serviteurs, la candidature de BOUYA KOIKOIZA Estevil incarne cette rare cohérence entre les actes d’hier et les ambitions de demain. Il ne revendique pas un mandat comme une récompense, mais comme une mission à prolonger, une continuité logique de ce qu’il a déjà entrepris pour le peuple.
Une vague de soutien populaire, spontanée et transversale
Depuis son retour à la Djouah il y a quelques années, son entrée en scène a provoqué un véritable frisson d’adhésion. Hommes, femmes, jeunes diplômés, commerçants, retraités, artisans, toutes les couches sociales ont salué avec enthousiasme cette déclaration de candidature. Et pour cause : BOUYA KOIKOIZA Estevil n'est pas un produit politique importé, il est un fils du terroir, un visage familier, un cœur connu.
Loin des artifices électoralistes, il ne promet pas de miracle, mais inspire la confiance par sa proximité, sa décence et son sérieux. « C’est un homme qui connaît nos besoins, parce qu’il est constamment avec nous, sans condescendance ni calcul », affirme un sage du village Ego. Ce lien affectif, enraciné dans le vécu commun, devient aujourd’hui une force politique tangible.
Une annonce solennelle, un programme en gestation
Le candidat a séjourné dernièrement dans le 3ᵉ siège, pour annoncer officiellement sa candidature. Et cette démarche, loin d’être banale, est à la hauteur de sa méthode : ne rien précipiter, prendre le temps de construire, de consulter, d’écouter.
Car BOUYA KOIKOIZA Estevil ne veut pas livrer un catalogue électoral rédigé à la hâte. Il prépare un projet structuré, articulé autour des besoins réels de la circonscription. L’essentiel viendra dans les jours à venir, lorsqu’il reviendra à Mekambo, dans le 3ᵉ siège pour dévoiler les grands piliers de son programme.
Ce temps de réflexion et de préparation témoigne d’une volonté : ne pas vendre des illusions, mais proposer des actions mesurables et durables.
Une candidature fondée sur les valeurs, et non sur l’opportunisme
Dans une époque où la politique est souvent associée au calcul, au carriérisme et à la déconnexion des réalités, BOUYA KOIKOIZA Estevil se distingue par un profil rare : celui d’un homme resté fidèle à ses valeurs. Rigueur, intégrité, loyauté, esprit d’écoute. Voilà les repères sur lesquels il fonde sa démarche.
Il ne vient pas en politique pour exister. Il y entre pour amplifier son impact social, pour donner aux institutions le visage d’un peuple qui réclame de la compétence, de l’honnêteté et de la décence. Sa parole pèse, parce que ses actes l’ont précédée. Et dans un 3ᵉ siège en quête de dignité et de résultats, cela fait toute la différence.
Un vote utile, un choix responsable
Les élections législatives de septembre 2025 ne sont pas une simple formalité électorale. Elles sont une opportunité historique de donner la parole à ceux qui agissent, et non à ceux qui bavardent. En choisissant BOUYA KOIKOIZA Estevil, les électeurs du 3ᵉ siège ne feront pas que voter pour un homme : ils voteront pour un modèle de gestion, un style de représentation, une conception humaine du pouvoir.
Plus que jamais, l’avenir du canton de Djouah mérite une voix forte, stable et crédible à l’Assemblée nationale. Une voix qui ne s’élèvera pas pour briller, mais pour défendre, interpeller, et bâtir.
Vany Corso SIMA
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