Pourquoi cette guerre sur l'inspecteur général de la mairie de Libreville ?

 

Marie Natacha Paillat épouse Adzomo est une véritable machine pour le redressement de l'inspection municipale de la mairie de Libreville. Malheureusement, son travail qui ne produit que de la positivité déplaît aux agents habitués à l'extorsion des fonds.

Dès son arrivée en 2021 à la tête de l'inspection municipale de la mairie de Libreville, Paillat Épouse Adzomo Marie Natacha, avait entamé ses activités en mettant un terme à certaines primes fictives que recevaient certains chefs de service chaque fin de semaine et qui donnaient un coup aux recettes municipales. Cette décision forte lui crée aussitôt des ennemis au sein de la boîte. 

Mais animée par l'esprit de créativité et de bienfaisance, elle va continuer son assainissement de l'environnement par un renforcement des capacités des agents de l'inspection afin d'impulser un nouveau dynamisme au sein de ce service qui autrefois était décrié par sa gestion affreuse.

Après les multiples phases de sensibilisation des agents, elle  procède au lancement des inspections de services qui, malheureusement, ne peuvent pas voir le jour, car l'inspecteur général municipal à rang de direction générale, ce qui serait nécessaire de revoir les textes de l'inspecteur général municipal pour rendre efficace ses missions d'inspection de services. Qui pourrait avoir pour mission audit et contrôle. 

Les premiers fruits de ce travail de redressement, vont permettre à l'inspection de récolter plus de 180 millions en 2021 alors que ses prédécesseurs avaient de la peine à regrouper 65 millions de francs CFA montant exigé par la tutelle. 

Entre janvier 2022 à décembre 2022, elle fixe un objectif, celui de faire rentrer 400 millions dans les caisses du trésor municipal, elle surprend à nouveau en réalisant plutôt une récolte de près de 500 millions.

Satisfaite par le dynamisme impulsé, elle va ainsi rehausser les primes des agents qui étaient à l'époque à 50.000 francs. Actuellement, la plus petite somme perçue comme prime est de 150.000 francs, de quoi se frotter les mains les agents de cette institution. 

 Depuis son arrivée, les extorsions d'argent aux commerçants ont baissé, malgré l'insistance de certains agents véreux. 

À l'heure de la transition, cette dame qui

fait face à un groupe d'agents indélicats habitués à fluide leurs poches au détriment du plus grand nombre, pourrait être un véritable pont pour le délégué spécial afin d'apporter cette institution vers l'essor et la félicité comme le souhaite les plus hautes autorités.

VC ELLA

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