La porte-parole du gouvernement de la transition a encore fait parler d'elle négativement au sortir de la conférence de presse conjointe qu'elle a animée avec son collègue porte-parole du CTRI. Laurence Ndong ministre de la communication et porte-parole du gouvernement vient de lâcher une nouvelle togue. En effet, interroger par les journalistes au sujet de la régularisation de la situation administrative des fonctionnaires gabonais, elle a déclaré : Les reclassements ont été gelés. Et ils ont repris. Et chacun va à nouveau avancer à partir de là où il est. On ne peut pas faire de rappel. Il y a les fonctionnaires qui veulent qu'on fasse des rappels soldes, on ne peut pas faire de rappels, parce qu'on n'a pas les ressources financières. Chacun va devoir contribuer à l'effort national ". Dans la foulée, le chef du gouvernement Raymond Ndong, par une publication sur les réseaux sociaux, notamment sa page Facebook et celle de la primature, rectifie le tir
La société d'électricité et d'eau du Gabon (SEEG) est secouée depuis quelques jours par un mouvement de contestation des agents de cette administration qui revendiquent le 13ᵉ mois, une prime d'encouragement qui leur est versée au plus tard le 10 décembre de chaque année . Informés par sa direction , qu'ils n'auront pas cette prime cette année à cause des problèmes de trésorerie que connaît cette structure. Ce qui a mis en colère l'ensemble des agents qui ont décidé de mener des actions de grève après leur mouvement de contestation de vendredi soir. Informé de la situation, le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema lors de son séjour dans la Ngounié, s'est ainsi adressé énergiquement aux agents syndicaux; " Essayez de couper le courant ou de l'eau aux populations, je mettrais les services de renseignement sur vous pour identifier où vous habitez et ils vous prendront... Comprenez que nous sommes à une période spéciale ". A
Arrêté à la suite de sa suspension à titre conservatoire de ses fonctions de proviseur du lycée Simon Oyono Aba'a de Btitam par sa tutelle selon des dispositions du Code de déontologie (article 60 alinéa 1) et celles de la loi portant Statut particulier des fonctionnaires du secteur éducation, Kisito Ondo Nzogobe avait été suspendu de sa fonction de proviseur à titre conservatoire le 05 mars 2024, pour son implication dans une supposée affaire de dépravation des mœurs avec une de ses élèves, l'un des meilleurs chefs d'établissements secondaires de la province du Woleu-Ntem, avait été conduit devant le procureur du tribunal de première instance d'Oyem qui l'avait placé sous mandat de dépôt. Après deux mois passés à la prison centrale d'Oyem, il a été mis en liberté cet après-midi pour insuffisance de preuves. Nous y reviendron s.
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